1.Le projet propose un bâtiment composé de 24 logements situé en bordure d’un grand espace vert. Tous les logements ont leur porte d’entrée à RDC ou R+1. Des loggias en bois agrémentent la façade et surplombe le parc.
2. Un projet dynamique et paysagé : La création de grandes terrasses, l’opportunité de végétaliser abondamment la cinquième façade, le traitement des balcons Est et Ouest en double peau type « serre urbaine » met le projet en adéquation totale avec le grand paysage.

Le projet en 5 points principaux.

1.Insertion au sein de l'ilot: Les volumes se reculent d’une trame d’étage en étage, minimisant au fur et à mesure l’impact des niveaux hauts, jusqu’au point culminant du niveau 7. En pivotant légèrement, Le corps principal du bâtiment laisse davantage pénétrer le soleil en cœur d'ilot.

2. Un projet paysagé : La toiture est habitée. Elle se compose de grandes terrasses en escalier; plantées d'arbres et de grandes jardinières. Ce sont de véritables terrasses jardins qui concernent 30% des logements.

 3 Une lecture simple: un socle actif, un entresol composé de grandes terrasses végétalisées et un corps principal intégralement

Le terrain se trouve à l’écart de l’agitation de la ville, malgré la proximité de la rocade, dans un environnement privilégié idéalement situé le long de la frange verte et à proximité de l’Isère, improbable verger au coeur de la ville.

Le projet, ambitieux, de connecter un quartier résidentiel de Gières à la plaine des sports et au terminus du tramway se compose de plusieurs petits bâtiments collectifs à R+2 et de maisons individuelles en bandes organisés autour d’un espace public paysagé intégrant la contrainte du SIERG qui traverse la parcelle.Ce dispositif permet d’assurer une transition douce entre des typologies d’habitat et d’équipements variées.
L’enjeu majeur est aussi d’assurer une continuité piéton | cycles allant du chemin de la digue (berges de l’Isère) au campus.

Dernière parcelle en mutation avant la plaine de champs, le terrain se situe idéalement sur l’une des principales entrées de Saint André de Corcy. Le projet à venir est donc particulièrement visible et sa situation stratégique, il se doit donc d’être exemplaire.
Nous avons travaillé en harmonie avec les quartiers résidentiels récents situés le long du chemin de Balzat. Il nous semble fondamental de s’inscrire dans une certaine continuité urbaine tout en jouant de la densité programmatique favorable à moins d’étalement urbain.
Nous avons fait le choix d’une composition fractionnée en 6 plots distincts de 4 à 6 logements maximum.

Le projet se compose de deux bâtiments :
20 logements en accession sociale à R+3 et 16 appartements locatifs à R+2.

Un axe principal Nord-Sud couplé à une distribution Est-Ouest découpe la parcelle en 4 quartiers.
Ce dispositif favorise une grande porosité de l’îlot.
Le fractionnement du bâti génère une perception domestique du projet et crée des vues transversales jusqu’en cœur d’ilôt.
À travers une architecture pourvue d’une forte identité, respectant l’ensemble de la ZAC, simple, compréhensible et appropriable : ambiance générale claire, vastes parties communes, entrées et espaces communs de couleur vive, identification aisée des différents logements, nous espérons contribuer à favoriser le sentiment de fierté d’appartenance à son quartier.

Le projet est situé au cœur de Chapareillan, sur une ancienne parcelle viticole. Avec pour ambition d’offrir un habitat alternatif convaincant, nous proposons une architecture frugale, rigoureuse et fonctionnelle, appropriable et en harmonie avec les constructions voisines et intimement liée au climat, aux saisons ou encore au passé du lieu.
D’un point de vue énergétique, consommer moins, c’est d’abord être compact et limiter au strict minimum les parties communes chauffées. Cela a déterminé notre choix de distribution en coursives de ces logements tous traversants.
L’enveloppe principale des bâtiments est réalisée en bois et la structure secondaire est désolidarisée. 

Le terrain, ancien jardin ouvrier, est situé dans un environnement urbain bigarré : maisons de maîtres, entrepôts, immeubles années 60, nouvelle zac. La difficulté du projet consistait, dans cet environnement dense, à pouvoir aménager des vues sans vis-à-vis depuis l’intérieur de la maison, avec un apport maximal de lumière. Il fallait aussi, à l’inverse, ménager les vues depuis les appartements voisins. Ceci nous a conduit à concevoir une maison sur trois niveaux, perpendiculaire à la rue trop passante, et surtout la plus étroite possible.Elle est à demi enterrée par rapport au niveau de la rue pour minimiser la hauteur et intimiser le jardin.

Le projet se situe sur un terrain de montagne dans le hameau de Brévardière, commune de Saint-Pierre-de-Chartreuse.

Les contraintes fortes ont orienté la conception du projet qui se présente extérieurement sous forme de longère de 13m de long. Le plan en trapèze se cale par rapport aux limites du terrain pour dégager un maximum d’espace habitable.